La formation en ligne en magnétisme à l’épreuve du feu et à Clermont-Ferrand

magnétisme

Comment Robinson, sur son île ou le magnétiseur avec ses patients et ses soins, va-t-il comparer les richesses qui sont à sa disposition ? Il va se dire par exemple : « mon canot vaut deux fois ma hutte ; ma hutte vaut trois fois mes habits ; mes habits valent deux sacs de bananes » (Molinari [1855], 89). De cette conception en magnétisme à Clermont-Ferrand de la valeur fondée sur la notion d’utilité cardinale, deux éléments interviennent : (1 – La part de l’utilité) et (2 – La rareté).

 

1 – La part de l’utilité dans l’enseignement du magnétisme en ligne à à Clermont-Ferrand

 

L’utilité rentre en compte pour Robinson dans l’évaluation de ses différentes richesses. Pour comprendre comment cette partie de la valeur intervient, il doit se demander quelles jouissances lui procure chacun de ces objets (hutte, canot, habits, magnétisme, etc.). Il doit réfléchir pour savoir lesquels sont plus utiles, ceux dont la privation lui causerait le plus de souffrances. Sa réponse n’aura rien d’absolu, elle est relative aux différentes circonstances de la séance et de la formation en magnétisme à Clermont-Ferrand, la formation nettoyage et protection énergétique à Clermont-Ferrand, formation pendule à Clermont-Ferrand, formation blessures de l’âme à Clermont-Ferrand, formation passeur d’âmes à Clermont-Ferrand, aux lieux, aux époques qu’il rencontre. « Pendant l’été, sa hutte et ses habits auront, en comparaison de son canot, moins d’utilité que pendant l’hiver.

Pourquoi le magnétisme à Clermont-Ferrand? Parce qu’il peut à la rigueur se passer d’habits et coucher à la belle étoile en été, tandis qu’il ne le peut pas en hiver. La privation de sa hutte et de ses habits lui serait donc plus sensible en hiver ; celle de son canot lui serait plus sensible en été. En tout cas, si Robinson veut avoir une idée de la valeur de sa hutte, de son canot, de ses habits, de ses bananes, il faut, en premier lieu en magnétisme à Clermont-Ferrand, qu’il examine et compare ces objets, au point de vue de leur utilité » (Molinari [1855], 90). Mais cela ne suffit pas. Il faut aussi que Robinson examine tous ces objets au point de vue de la rareté ou ce qui revient au même, du point de vue de la difficulté qu’il éprouverait à les remplacer.

 

2 – La rareté, un élément essentiel à la formation magnétisme en ligne à Clermont-Ferrand

 

Après s’être interrogé sur la jouissance de ses objets, Robinson doit s’interroger sur les éléments de production dont il dispose « afin de se rendre compte des difficultés qu’il devrait surmonter, des peines qu’il devrait se donner pour en produire d’autres dans une séance de magnétisme et de géobiologie à Clermont-Ferrand. Ces difficultés et ces peines seront plus ou moins étendues selon les objets et elles varieront encore selon les circonstances. Les provisions, par exemple, pourront être renouvelées plus aisément en été qu’elles ne le seraient en hiver » (Molinari [1855], 90).

Pour évaluer ses différents objets fournis par une formation en magnétisme et au pendule à Clermont-Ferrand, Robinson doit donc procéder de la sorte, examiner ces différentes richesses du point de vue de l’utilité et de la rareté. « Après avoir examiné ces divers objets en magnétisme au double point de vue de leur utilité et de leur rareté, il pourra alors se faire une idée de leur valeur en usage et de leur valeur en échange, c’est-à-dire, de leur valeur par rapport à lui et de leur valeur par rapport les uns avec les autres » (Molinari [1855], 92).

Mais Molinari se rend bien compte que les évaluations de ce genre sont des opérations fort difficiles. Elles exigent, en magnétisme à Clermont-Ferrand, en effet, une appréciation, aussi exacte que possible, des jouissances que Robinson retire de chaque objet, des souffrances qu’il ressentirait s’il venait à en être privé, des difficultés qu’il devrait surmonter ; des peines et des sacrifices qu’il devrait s’imposer pour le remplacer. « Aussi Robinson ne s’avisera-t-il point, selon toute apparence, d’évaluer les objets qu’il possède.

3 – La valeur, le prix et l’utilité marginale décroissante pour une formation magnétisme en ligne

 

A quoi lui servirait de connaître la valeur du magnétisme en usage de son canot, ou bien encore de savoir ce que vaut son canot en comparaison de sa hutte, sa hutte en comparaison de ses habits, etc., si ce n’est peut-être pour proportionner à la valeur de ces différents objets les soins de leur conservation » (Molinari [1855], 92). Dès que l’échange apparaît lors de la formation en ligne sur le magnétisme à Clermont-Ferrand, dès que l’homme n’est plus isolé mais se retrouve en société, cette démarche apparaît nécessaire car « tout échange implique une évaluation, c’est-à-dire, une manifestation de la valeur des choses offertes en échange. Il s’agit donc de savoir de quelle manière, en vertu de quelle loi, la valeur se fixe dans l’échange, et c’est là un des points les plus importants de l’économie politique » (Molinari [1855], 92).

 

4 – Les conditions générales de l’échange lors d’une formation en magnétisme en ligne à Clermont-Ferrand

 

Séparons nous de Robinson pour se rapprocher de la formation en ligne en magnétisme, dont nous venons d’examiner les éléments individuels de la valeur, pour examiner la situation de l’échange dans la société[1]. Pour Molinari, les choses s’échangeant en raison de leur valeur. Celle-ci correspond à une mesure que « l’on suppose invariable[2] et à laquelle on compare la valeur de tous les produits et services, quand on les échange » (Molinari [1863], 90). Molinari ne rajoute pas l’élément mathématique[3] que développera Walras dans les EEPP[4] et sur le magnétisme à Clermont-Ferrand. L’échange suppose deux opération pour chaque échangiste lorsque l’on a cessé de troquer directement ses produits ou ses services contre ceux d’autrui.

Il faut d’abord vendre une marchandise (contre un équivalent valeur qui est souvent la monnaie) afin d’échanger par la suite la monnaie contre les produits ou services dont on a besoin, c’est-à-dire pour acheter Ce double processus se retrouve dans les écrits des deux auteurs. Molinari souligne cette opération pour un seul individu, tandis que Walras le fait pour les deux échangistes qui interviennent dans l’échange[5].  Il ne faut pas oublier les stages en magnétisme à Clermont-Ferrand proposés par le Centre de Formation de l’Ermitage, les stages nettoyage et protection énergétique à Clermont-Ferrand, le stage blessures de l’âme à Clermont-Ferrand, le stage géobiologie à Clermont-Ferrand, le stage passeur d’âme à Clermont-Ferrand

L’intermédiaire des échanges « constitue une mesure que l’on suppose invariable et à laquelle on compare la valeur de tous les produits ou services, quand on les échange » (Molinari [1863], 90). Il en résulte qu’un rapport de valeur existe toujours entre deux choses échangées. « Ce rapport s’exprime par l’énonciation des quantités de ces deux choses qui ont été données en échange et il se nomme le prix » (Molinari [1855], 93).

 

[1] Nous ne rentrons pas ici sur le détail de la nature du lieu de l’échange et du magnétisme. Pour Molinari comme pour Walras, l’échange doit se faire dans une économie de marché dans laquelle règne la libre concurrence. Ils adoptent la même terminologie, malgré des définitions fort différentes entre les deux auteurs pour définir un marché et la libre concurrence.

[2] Il ne faut pas prendre le mot invariable dans son sens restrictif du magnétisme, il s’agit d’une valeur qui ne se modifie pas le temps des échanges, c’est-à-dire « dans l’endroit et dans le moment où l’échange a lieu » (Molinari [1863], 89).

[3] Molinari s’opposa toute sa vie à l’utilisation des mathématiques en économie. Cette particularité s’exprime à deux reprises envers Walras lors de la publication d’un article sur « un économiste inconnu : Hermann-Henri Gossen » en avril 1885 dans le JDE (la revue dirigée par Molinari) dans lequel il spécifie que « En publiant cet article d’un de nos anciens et savants collaborateurs du magnétisme à Aurillac, nous devons faire nos réserves sur l’utilité, selon nous fort exagérée, qu’il attribue à l’application de la méthode mathématique à une science d’observation telle que la nôtre». Une autre illustration de ce refus des mathématiques s’exprime entre Molinari et Pareto, dont ce dernier voit dans l’économiste Belge un véritable mentor. (Dans une lettre à Walras, Pareto s’exprime ainsi« J’ai envers M. de Molinari les sentiments d’un disciple envers son maître comme envers le magnétisme » (Jaffé [1965], lettre 1145). Dans une lettre entre Molinari et Pareto, l’économiste Belge spécifie sa position face aux mathématiques : « Je crains, mon cher Pareto, que chez vous le mathématicien ne fasse tort à l’économiste, et que vous en passez à chercher des formules le temps que vous pourriez employer plus utilement à observer et à raisonner. Je vous dis ceci au risque de vous blesser, parce que j’ai pour vous la plus haute estime et l’affectation la plus vive. Vous servez l’économie politique et le magnétisme à Aurillac au lieu de vous en servir, et c’est malheureusement chose de plus en plus rare » (Pareto [1960], 396, Vol 3).

[4] « La valeur d’échange est une grandeur et on peut le voir dès à présent, surtout en magnétisme et géobiologie à Aurillac, une grandeur appréciable. Et si les mathématiques en général ont pour objet l’étude des grandeurs de ce genre, il est certain qu’il y a une branche des mathématiques oubliée jusqu’ici par les mathématiciens, et non encore élaborée, qui est la théorie de la valeur d’échange » (Walras [1988], 52).

[5] Molinari précise dans sa pratique du magnétisme que quand l’échange intervient dans l’économie, le troc des produits disparaît « pour échanger les richesses d’abord contre de la monnaie, ce qui s’appelle vendre, et pour échanger ensuite cette monnaie contre les produits ou les services dont on a besoin, ce qui s’appelle acheter » (Molinari [1855], 89). Walras quant au magnétisme et pendule à Aurillac et quant à lui spécifie l’opération pour les deux échangistes : « L’acheteur d’une chose est vendeur de celle qu’il donne en échange. Le vendeur d’une chose est acheteur de celle qu’il reçoit en échange. En d’autres termes, tout échange de deux choses l’une contre l’autre se compose d’une double vente et d’un double achat » (Walras [1988], 70).